Citation de Yvon Rivard

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La joie est un plaisir que la conscience torture. On appelle joie les plaisirs qu'on se refuse pour se donner bonne conscience.... - Yvon Rivard

La joie est un plaisir que la conscience torture. On appelle joie les plaisirs qu'on se refuse pour se donner bonne conscience.

Yvon Rivard

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Il y a des gens qui semblent n'avoir appris à écrire que pour signer des chèques sans provision.

André Birabeau

Il ne semble même pas que l'on puisse être pour beaucoup un ami au sens plein du mot pour la raison que l'on ne peut aimer plusieurs êtres.

Aristote

Le monde dans lequel chacun vit dépend de la façon de le concevoir.

Arthur Schopenhauer

Certains bleus font beaucoup moins de mal que l'indifférence.

Bruce Lowery

Nous journalistes professionnels, on a une mission hein ! Et cette mission... tiens notez c'que je dis... note... avec ton doigt par terre !

Dieudonné

Vous permettez ! Quand vous avez posé une question, si ma réponse vous gène tant pis pour vous !

Georges Marchais

On tourne souvent en rond avec les gens dont on a vite fait le tour.

Jean Delacour

Quiconque n'a pas vécu l'épreuve de la disgrâce, du dénuement et de l'accusation ne peut prétendre connaître véritablement la vie.

Jean-Christophe Rufin

Un grain de poésie suffit à parfumer tout un siècle.

José Martí

Un éléphant, convenablement beurré, tombera, quoi qu'il arrive, sur vos pieds côté éléphant.

Loi de Murphy

Un petit tyran, qui expose sa souveraineté pour défendre sa vie.

Montesquieu

L'amour est à nos coeurs ce que les vents sont à la mer : ils y excitent souvent des tempêtes, cela est vrai ; ils causent même quelquefois des naufrages ; mais aussi les vents seuls la rendent navigable.

Ninon de Lenclos

Travailler durement, vivre durement, mourir durement et aller en enfer après, ce serait vraiment trop dur.

Richard Henry Dana

Quand la lumière de l'amour ne pénètre plus un coeur, sa nuit ressemble aux ténèbres.

Romain Guilleaumes

Le plus ou moins de finesse qu'on met à satisfaire les besoins de l'amour-propre, besoins aussi nécessaires que celui de boire et de manger, indique la classe à laquelle appartient l'individu.

Stendhal